«393» аревизиақәа рыбжьара аиԥшымзаара
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n’épouse que pour divorcer et rendre à son épouse fictive sa pleine liberté, des répondants bénévoles, véritables hommes de paille choisis pour chaque acte juridique ou financier, voilà pour la femme à qui le joug marital semble trop lourd encore d’ingénieux moyens de tourner la loi. Souveraine dans la maison où elle fut esclave, la femme aspire bientôt à prendre à la vie sociale, politique, une part plus grande. Jusqu’à présent, la religion seule leur était ouverte : vêtues de blanc, précédées |
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n’épouse que pour divorcer et rendre à son épouse fictive sa pleine liberté, des répondants bénévoles, véritables hommes de paille choisis pour chaque acte juridique ou financier, voilà pour la femme à qui le joug marital semble trop lourd encore d’ingénieux moyens de tourner la loi. |
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Souveraine dans la maison où elle fut esclave, la femme aspire bientôt à prendre à la vie sociale, politique, une part plus grande. Jusqu’à présent, la religion seule leur était ouverte : vêtues de blanc, précédées de lecteurs, montant au premier rang dans toutes les cérémonies, les vestales étaient, suivant l’antique loi de Numa, vénérées comme l’image vivante du foyer romain. |
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Honneurs, somme toute, assez stériles ! Mais voici que, dans les légendes qui se forment, quelques figures féminines apparaissent. Clélie l’Amazone qui tailla en pièces les troupes du tyran étrusque, traversa tout armée et à cheval le Tibre, et dont une statue équestre, visible encore au temps de Plutarque, honora le courage ;… les Sabines qui s’interposèrent entre leurs pères et leurs maris pour amener la fusion des deux peuples, prélude de la grandeur de Rome ; Égérie, l’inspiratrice du sage Numa ; Valéria, Véturia et Volumnia, sœur, femme et mère du grand Coriolan qui, quand celui-ci, à la tête d’une armée volsque, assiégea son ingrate patrie, viennent, poussées par le souffle d’un dieu, au camp du rebelle, et dont les paroles pathétiques assurent à Rome la paix victorieuse que ses armes n’ont pu conquérir ; Fabia, épouse de Licinius Stolon, qui obtint, par ses larmes, l’accès des plébéiens au consulat : toutes celles-là, quittant leur rôle traditionnel |
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n’épouse que pour divorcer et rendre à son épouse fictive sa pleine liberté, des répondants bénévoles, véritables hommes de paille choisis pour chaque acte juridique ou financier, voilà pour la femme à qui le joug marital semble trop lourd encore d’ingénieux moyens de tourner la loi. |
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Souveraine dans la maison où elle fut esclave, la femme aspire bientôt à prendre à la vie sociale, politique, une part plus grande. Jusqu’à présent, la religion seule leur était ouverte : vêtues de blanc, précédées de lecteurs, montant au premier rang dans toutes les cérémonies, les vestales étaient, suivant l’antique loi de Numa, vénérées comme l’image vivante du foyer romain. |
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Honneurs, somme toute, assez stériles ! Mais voici que, dans les légendes qui se forment, quelques figures féminines apparaissent. Clélie l’Amazone qui tailla en pièces les troupes du tyran étrusque, traversa tout armée et à cheval le Tibre, et dont une statue équestre, visible encore au temps de Plutarque, honora le courage ;… les Sabines qui s’interposèrent entre leurs pères et leurs maris pour amener la fusion des deux peuples, prélude de la grandeur de Rome ; Égérie, l’inspiratrice du sage Numa ; Valéria, Véturia et Volumnia, sœur, femme et mère du grand Coriolan qui, quand celui-ci, à la tête d’une armée volsque, assiégea son ingrate patrie, viennent, poussées par le souffle d’un dieu, au camp du rebelle, et dont les paroles pathétiques assurent à Rome la paix victorieuse que ses armes n’ont pu conquérir ; Fabia, épouse de Licinius Stolon, qui obtint, par ses larmes, l’accès des plébéiens au consulat : toutes celles-là, quittant leur rôle traditionnel |
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Ҳазну аверсиа 05:34, 17 ԥхынгәымза 2020 ала
Азқьышықәсқәа: | Ҳ. ҟ. I · I · II |
Ашәышақәсқәа: | III · IV · V |
Ашықәсқәа: | 390 · 391 · 392 393 394 · 395 · 396 |
393 (хышәи ԥшьынҩажәи жәаха) шықәса — иулиантәи амзар 393-тәи ашықәс ауп.
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